Heavenletter™ # 3423 – Esprit, Corps et Cœur - Publiée le 9 avril 2010
Dieu a dit:
Alors que vous vous penchez vers Moi, votre posture change. Toutes vos pensées ont une direction, et la direction de vos pensées affecte votre position dans la vie et affecte le positionnement de votre corps physique.
Vous savez que vos corps sont affectés. Lorsque vous êtes joyeux, vos corps le sont. Vous pouvez déjà relever que les mots que vous utilisez une incidence sur l'équilibre de votre corps.
Votre langage vous affecte, les mots que vous dites et aussi la langue nationale que vous parlez. Votre langue de naissance vous affecte, vous et votre processus de pensée.
D'une certaine façon, votre langue vous affecte comme la géographie le fait. Né dans le climat chaud ou froid, vous êtes affectés. L'air que vous respirez vous affecte.
La même graine plantée dans diverses terres tient compte de l'habitat où elle pousse.
Vous, l'essence même de vous, êtes toujours vous. Pourtant, les influences du monde affectent vos individualités. Bien sûr qu’elles le font.
Il n'y a rien ici à quoi résister à l'exception de toute pensée négative qui s'insinue dans vos esprits et parle. La négativité n'est pas agréable. Elle empêche l'amour de circuler. Vous avez une responsabilité face à l'amour, et toute la négativité qui traverse vos esprits vous en êtes aussi responsables. Vous n'êtes pas la victime innocente de vos pensées. Vous n'avez pas à l’être, c’est ainsi. Vous n'êtes pas enchaînés à vos opinions. Vous pouvez les abandonner à tout moment.
Ce que vous pensez et comment vous vous sentez est très important. Lorsque vous vous trouvez au milieu de la colère, par exemple, fuyez-la comme la peste. Laissez votre colère, bien-aimés. Ne retournez pas la voir.
Vous, qui demandez une bonne santé, devez abandonner la colère. Elle est trop chaude. Elle fait bouillir votre sang, tout comme le dit le langage des mots. La colère peut faire cailler votre sang. Pourquoi quiconque s’établirait dans la colère, et pourquoi resterait-il avec elle. Ça fait mal vos coeurs, bien-aimés, et ça fait mal à vos estomacs. Cela interfère avec votre bien-être.
Quoi qui ait pu vous irrités, peu importe que vous soyez justes, vous ne pouvez pas soutenir la colère. L'autre personne ne le peut pas. Le monde ne le peut pas.
Vous avez la responsabilité vis-à-vis de vous, de Moi et du monde, de vous éloigner de la colère. Vous n'avez pas été faits pour arborer la colère. C'est pourquoi elle n'est pas bonne pour vous et, par conséquent, pas bonne pour quiconque ou quoique ce soit.
Je comprends que, lorsque vous êtes en proie à la colère, vous ne savez pas comment la faire tomber comme ça. Lorsque vous éteignez le gaz sous l'eau bouillante, elle mijote encore pendant un certain temps. Voici ce que Je vous propose: adoptez l'idée que vous n'avez pas à faire bouillir l'eau. Si vous ne la faites pas bouillir pour commencer, vous n'aurez pas à la désactiver.
Tant que vous continuez avec l'idée que vous avez le droit d'être en colère, vous continuerez avec la colère. Un nouveau baobab de colère. Vous trouverez des occasions pour cela. Il est préférable pour vous d’en venir à la proposition que la colère n'est pas honorable. Mieux vaut accepter la proposition selon laquelle elle n'est pas nécessaire. Lorsque vous changez le fond de votre pensée, vous n’atteindrez pas l’occasion de la colère.
La colère, qu’elle soit justifiée à vos yeux, qu’elle que soit justifiée aux yeux du monde, peu importe la gravité de l'infraction, la colère est un sport de l'ego. Personne n'a le droit d'inspirer la colère en vous. La vie n'a pas le droit. Cela ne veut pas être autorisé. Vous pouvez être tout à fait justes au sujet de la situation. Ce que Je vous dis, bien-aimés, c'est que vous n'avez pas le droit de vous permettre de subir la colère.
Traduit par Christine
Page originale : http://www.heavenletters.org/mind-body-and-heart.html